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il y a 4 ans
Ce journal intime à double écriture a été écrit durant 13 ans, il relate une évolution, des progrès... J'y ai inclus des commentaires venus à l'esprit à la relecture.
Voici mon histoire qui commence à 19 ans. J'ai fait la connaissance de celui qui deviendra mon mari. Il avait 3 ans de plus que moi. Une de mes amies qui était sortie avec lui m'avait dit de m'en méfier parce qu'il était fou, obsédé et je ne sais quoi encore.
J'ai pensé qu'elle était jalouse et je n'ai pas tenu compte de ces paroles pour le moins « vaches ».
Pour me dépeindre, j'étais une jeune fille très « écoles des Soeurs », petite (1m60), brune, très réservée.
Pendant nos premières sorties j'ai trouvé mon compagnon plutôt réservé, une main parfois égarée, des baisers presque chastes. Un jour, je portais comme souvent une robe chemisier, sur une lingerie blanche bien sage, il m'a demandée quand je suis montée dans sa voiture d'ôter mon soutien-gorge, disant qu'il était inutile. Je l'ai déposé dans la boite à gants, un peu gênée, mais aussi flattée. J'ai un peu rougi quand nous sommes allés prendre un verre et que le garçon a pris notre commande.
Pendant quelques jours le même cérémonial s'est déroulé. Ce fantasme me paraissait finalement bien innocent. Un dimanche, par distraction, j'avais choisi une robe blanche très légère, avec un jupon et les sous-vêtements classiques. Dans la voiture je lui ai demandé de m'abstenir, vu le problème. Il a ri en me disant que j'avais raison, qu'on verrait la différence entre le dessus et le dessous et que donc je n'avais qu'à garder que ma robe. Bêtement je l'ai fait, bêtement j'ai accepté de marcher en rue en sachant que la transparence était vraiment forte.
Une semaine plus tard, il a voulu faire l'amour dans un petit bois. Nous y sommes entrés et avons gravi un talus qui surplombait d'une dizaine de mètres un sentier de promenade. Je m'apprêtais à me coucher par terre en relevant simplement ma robe. Il me l'a fait ôter et m'a fait l'amour, lui allongé, moi à califourchon sur lui, bien droite, donc visible du sentier si quelqu'un passait. Un cycliste en VTT est passé, sans me voir, je pense. J'étais plus troublée que je ne pensais.
Encore plus tard, il m'a proposée un rendez-vous dans un petit hôtel de passage, en me demandant d'arriver avant lui et de l'attendre dans la chambre. J'ai voulu prendre l'initiative.
Je suis entrée dans la chambre et, bravement, j'ai ouvert les voilages de la fenêtre en face du lit . Je me suis rapidement déshabillée et allongée, mains derrière la nuque, jambes écartées, fière de mon exploit. Il est arrivé rapidement, m'a regardée, m'a dit que j'étais belle. J'étais folle de joie et d'excitation. Quand il m'a dit que le garçon d'étage allait apporter le champagne, j'ai cru que mon coeur allait s'arrêter.
Il m'a dit que je n'avais qu'à faire semblant de dormir. J'ai voulu crâner : quand le garçon est venu, je l'ai regardé droit dans les yeux.. C'était le premier jour de la vraie histoire
Il m'a demandée de venir habiter chez lui : je l'ai fait. Il m'a demandée, chez lui, de rester nue toute la journée : je l'ai fait. Il m'a emmenée dans des cinémas, des cafés des restaurants dans des tenues toujours trop légères. Il me demandait de défaire des boutons, je le faisais ; d'échancrer mes décolletés, je le faisais ; de croiser haut les jambes... A cette époque, l'épreuve la plus dure que j'ai subie est celle de l'achat de chaussures, en mini jupe, assise face à ce petit banc où le vendeur s'assied . Il est clair que ce jeune a pu admirer mon intimité à loisir. A peine sortis du magasin, il m'a demandée de me caresser dans la voiture. Il a triomphé quand il a vu que je n'étais pas que gênée et que l'état de mon sexe prouvait l'excitation.
Nous nous sommes mariés.
J'ai connu une jeune femme qui m'a dit qu'après quatre ou cinq soirées dans un club échangiste, elle avait accepté de faire l'amour avec son mari, dans un coin discret et qu'elle avait difficilement passé les caps suivants. Lisez ce qui suit.
Un peu plus tard, un mois peut-être, j'étais sur la terrasse, allongée sur un transat, sur le ventre, nue et lisant. Il est arrivé et m'a embrassée. J'ai entendu un bruit suspect et je me suis rendu compte qu'il n'était pas seul : deux copains que je connaissais de vue l'accompagnaient. Que faire, me fâcher ? Le mal était fait et j'ai continué. Il m'a demandée de servir un verre, à genoux, nue, face à eux. Il a commencé à parler de moi en détails, de conseiller aux autres de bien regarder ce qu'il leur montrait. Il m'a annoncée qu'il me livrerait le lendemain à un parfait inconnu, que eux regarderaient depuis la pièce à côté, qu'ils me prendraient ensuite, je n'ai pas répondu autre chose que oui.
Finalement n'était-ce pas un peu un rêve ?
Le lendemain j'ai compris qu'il voulait simplement m'obliger à me faire prendre par un livreur que nous attendions. Tu n'as qu'à lui ouvrir, vêtue d'une sortie de bain en éponge (elle arrive au ras des fesses et ne demande qu'à bailler), te pencher, il serait étonnant qu'il n'y ait pas de réaction me dit-il.
A l'heure prévue, la sonnerie a retenti ; j'ai ouvert par l'interphone. Quand je suis arrivée comme prévu, ils étaient deux. Ils n'ont rien dit, je leur ai proposé un verre, ils ont accepté. Le silence était très lourd. Je me suis penchée vers le premier pour le servir, tournant le dos au second. Tout a été vite, ils étaient vulgaires. Le second a mis sa main sur mon sexe, par derrière, il m'a traitée de pute, de salope et m'a renversée sur le divan. J'ai subi plus que joui. L'un me tenait les poignets tandis que l'autre me prenait. Ils m'ont laissée ainsi, en partant en rigolant. Je me sentais sale.
Les spectateurs sont rentrés, ils ont fait ce qui était prévu, de tout côté.
Quand je me suis trouvée nue collée à mon mari, en présence de deux hommes, il était trop tard pour reculer. Les premières minutes étaient difficiles; j'ai vu ensuite l'état de mon homme à la forme de son pantalon... J'ai senti à ce moment que ce n'était pas moi qui étais humiliée mais que mes spectateurs ne savaient pas cacher leur désir. Quand ils me regardaient, je me sentais caressée.
Face aux livreurs, la seule crainte était qu'ils n'osent pas. Je voulais me donner et montrer ce dont j'étais capable. Après le départ de mes deux inconnus, je suis restée allongée, nue, ouverte, mouillée, le sperme coulant, je voulais que les copains et mon mari voient mon cul avant de me baiser. L'impression était extraordinaire.
Le châtiment
L'aveu étant clair, je laisse Pascale dans l'attente de sa punition qui sera à la hauteur de ses espérances...
Elle a fauté en utilisant un de nos jeux amoureux, elle paiera donc par là !
18h, je lui demande d'appeler son amant et de lui dire qu'elle m'a tout raconté et de regarder à minuit notre fenêtre, qu'elle le rappellerait au téléphone à cette heure tardive. Elle obéit, téléphone en utilisant la main libre qui me donne le plaisir d'entendre son amant d'abord incrédule, puis vexé, puis inquiet, elle, gênée, anxieuse.
Minuit
Depuis 23h30, elle est attachée nue devant la fenêtre, à genoux sur une table pour que son sexe soit bien visible au dessus de la tablette de fenêtre. Les tentures sont toujours fermées. Je compose le numéro et attend que le complice décroche. Le dialogue entre les deux coupables commence, elle lui explique, selon mes ordres, qu'elle va être punie et qu'il devra écouter jusqu'au bout faute de quoi la peine s'aggraverait et que c'était le prix du pardon.
Les tentures sont maintenant largement ouvertes, le silence est pesant. Nous savons qu'en face des yeux regardent interrogateurs. Je prends l'arme de la punition, une vieille de corde de chanvre, trempée dans l'eau. Pascale demande à son amant de compter et le départ est donné.
Je travaille court pour ne viser qu'une fesse à la fois. Les coups se suivent, le décompte aussi. Pascale se tord délicieusement, elle crie , se secoue. Son amant demande d'arrêter, je demande à Pascale de lui ordonner de se taire. Ce qu'elle fait. Quand elle se laisse glisser au bout des cordes, quasi inerte, je la fais pivoter pour montrer le résultat et pour préparer la suite du supplice. Sous la lumière de la lune, la peau claire de Pascale souligne les stries rouges laissées par la corde.
Je fais boire un verre d'eau à Pascale, pour lui redonner l'envie de subir la suite.
On redémarre, les cuisses, le ventre d'abord, le spectacle est superbe. J'ordonne à Pascale de rappeler à son amant qu'il doit compter plus clairement, faute de quoi le supplice sera évidement allongé.
Quand j'attaque ses seins, les cris deviennent perçants, couvrant la voix au téléphone, le supplice se termine. Je la retourne pour l'exposer mais, et ça elle ne s'y attendait pas en posant le fruit d'un merveilleux bricolage sur la table. Une double pente en bois verni, au faîte duquel trône un beau phallus en bois lui aussi. La suppliciée se met à genoux, genoux rapprochés, à l'aplomb de ce pal, les genoux insensiblement glissent et s'écartent laissant le phallus pénétrer le vagin. Impossible de résister ou de l'ôter soi-même, je peux donc la laisser ainsi exposée, dialoguer avec son amant qui n'a bien sûr rien perdu du spectacle et aller boire le verre que j'ai mérité. Elle a obtenu son pardon mais mettra du temps pour effacer de si belles traces.
Elle ne sait pas que d'autres faits lui seront reprochés bientôt. Il est utile d'avoir des amis complices mais traîtres.
Adultère
20H, Pascale est nue, mains attachées derrière le dos, yeux bandés, au centre de la pièce (une remise dont le plancher de l'étage manque, laissant toutes les poutres libres (on attache tout ce que l'on veut avec facilité). Une poulie au dessus d'elle, par laquelle passe la corde qui passe par une seconde poulie à double réa près du mur pour rejoindre un grand seau en galva, pendu à cette corde mais aussi à une seconde qui passe par le second réa, ce qui permet de régler les montées et descentes du seau, nonobstant le poids de son contenu. Pascale a les seins serrés par une corde liée à la corde du supplice. Pour éviter qu'elle ne puisse trop monter, ses chevilles sont attachées à deux pitons dans le sol, avec beaucoup de mou. Deux pinces sur ses grandes lèvres, attachées au sol, très écartées, avec moins de mou, donneront le coup de grâce.
Je sais plus ou moins ce qu'elle doit avouer mais elle devra le raconter dans les moindres détails, clairement. Pour éviter d'écrire à la dictée, j'ai mis un enregistreur. Le texte en italique reprend la confession qui est devenue de plus en plus difficile à cause du supplice. Ce que Pascale avait oublié, c'est qu'elle avait intérêt à parler très vite pour abréger la dernière partie. Comme lest pour le seau des vieux écrous grands modèles : c'est bruyant quand ça tombe dans le seau (inquiétude), c'est lourd et compact. Les premiers écrous sont tombés dans le seau, tenu bloqué par le second cordage. Pascale était un peu surprise de ne rien sentir, jusqu'au moment où le seau a été libéré et où elle a subi la secousse.
Début de son histoire , tout en ajoutant des écrous un à un:
« Il y a deux ans, tu es parti deux semaines en mission. Le troisième soir, après ton coup de fil, j'étais dans la chambre et j'ai voulu jouer au jeu que tu aimes, m'exposer les yeux bandés pendant que je me caresse. Je l'ai fait : c'était encore meilleur de savoir que tu ne pouvais pas contrôler. »
Punition immédiate, remontée du seau et redescente brutale, premier vrai cri.
« Le lendemain, j'ai recommencé en supprimant complètement le voilage. Je sais que tu m'as toujours dit qu'être entre le voilage et la vitre fait que le blanc derrière moi diminue la vision . Ici c'était avec le noir derrière moi. C'était très troublant. Le lendemain encore, je suis rentrée du travail avec vraiment envie. C'est long deux semaines. Je suis montée me changer dans la chambre et j'ai recommencé. La seule différence est qu'il faisait clair. C'était mon erreur.»
Seau un peu remonté pour la laisser souffler, les seins sont d'une belle couleur, j'en profite pour jouer un peu avec son ventre, sans aller jusqu'à la jouissance. Nouvelle secousse, hurlement, augmentation du poids plus rapide, ne pas laisser récupérer. Elle continue à parler mais de manière saccadée.
Le lendemain, je suis rentrée vers 17h, il y avait un mot dans la boite qui disait « même heure aujourd'hui ? ». C'était l'horreur, on m'avait vue. Je suis restée dans le living sans bouger, décidée à ne rien faire. 5 minutes avant l'heure, j'ai pris mon courage à 2 mains et je suis montée, j'ai arraché mes vêtements et je me suis déchaînée : on voulait voir, on allait voir ! Je savais que l'on me regardait, je voulais tout montrer.
Elle se tait, j'en profite pour alourdir la charge. Elle ne dit toujours rien, manifestement elle bloque. Enfin, elle décolle lentement, en grognant de douleur, j'attends que les cordes se tendent. Ses grandes lèvres l'arrêtent, elle hurle en bavant. Je lui dit que si la suite n'arrive pas, je lui mets un poids qui va lui amener ses lèvres au milieu des genoux. Pour prouver, je jette un écrou de loin.
Le lendemain, un petit mot me fixait rendez-vous dans un café pas très loin, vers 20 h. J'ai été au rendez-vous, nerveuse et excitée. Le type m'a rejointe, sympa, pas génial mais bien. On a pris un verre sans parler puis il m'a demandé si on allait chez moi. On s'est levé et on est parti. A peine entrés, il a commencé à me déshabiller, j'ai laissé faire, nous sommes montés. Il est parti le lendemain matin. Chaque soir il est revenu pendant ton absence, il a essayé nos passions, il m'a liée aux quatre coins du lit, il m'a sodomisée, je l'ai sucé. Chaque soir, quand tu me sonnais pour me souhaiter une bonne nuit et que je te disais que je pensais à toi, c'était vrai, mais quand tu me demandais de me faire jouir, c'est lui qui s'en chargeait.
Nouveau silence, elle a pourtant les seins mauves. Une pince sur le clitoris lui rend la parole, surtout que je m'amuse à la tourner pour le tordre, ce qui la fait gesticuler et souffrir de partout.
A ton retour, tout a changé.
Je passais chez lui en rentrant du boulot avec une condition : seulement pour baiser. La première fois, pour lui faire comprendre, je me suis mise nue dans l'ascenseur pour qu'il m'ouvre la porte, nue et prête. Il m'a dit que j'étais folle, mais on l'a fait sur le palier, dans son appart, sur sa terrasse d'où je voyais notre chambre, dans sa cave, dans son garage.
J'ai commencé à prendre peur quand il a dit qu'il voudrait vivre avec moi. Un jour je lui ai sonné pour dire que je passais et il m'a dit que c'était impossible parce qu'il avait un copain chez lui, j'en ai profité. J'ai sonné à l'appart, complètement nue, il a ouvert m'a dit que c'était de la folie ; Je lui ai dit que s'il avait honte et qu'il refusait c'était dommage et je suis partie. C'est la fin de l'histoire. Juré.
Je veux bien la croire, mais pour rester crédible il faut l'interroger. Je prends donc le martinet lui frappe la poitrine. Les seins gonflés ne résistent pas longtemps avant que la peau ne commencé à se fendre. Comme elle ne crie plus, vaincue, je la descend et la détache en lui disant que la punition serait pour le lendemain. L'adultère doit être puni, n'est-il pas ?
Pierre et Pascale
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